En tant que créateur d’entreprise en phase d’amorçage, vous avez l’impression que le passage par la case du crowdfunding est quasiment obligatoire et ce, pour pouvoir obtenir du financement (le nerf de la guerre).
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Vous n’y voyez que des avantages, comme tester ou préfinancer votre produit, fédérer une communauté autour de votre business ou encore éviter d’avoir à réaliser un BP pour finalement essuyer un refus auprès d’une banque.
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Pour en avoir discuté avec quelques entrepreneurs, quelques conseils pour réussir votre campagne :
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- Demander à vos proches s’ils participeront à votre campagne. C’est bête mais ça permet de jauger leur participation étant donné qu’ils sont normalement vos premiers contributeurs.
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- Ne pas sous-estimer le temps que vous passerez à faire votre campagne car il faudra assurer une présence sur les réseaux sociaux/médias pour faire connaître votre projet. N’hésitez pas à vous faire aider !
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- Prévoir des contreparties qui constituent DEJA les produits que vous allez vendre et non pas des produits qui n’ont rien à voir avec votre activité car ces biens sans rapport avec votre business nécessiteront du temps pour les produire.
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- Ne pas stresser si vous n’atteignez pas rapidement votre objectif car tout se joue dans les derniers jours de la campagne. Il y a souvent une accélération des contributions la veille de la clôture de la campagne.
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Si vous ne souhaitez pas donner de contrepartie, pensez au crowdfunding en royalties : Régulièrement et pendant une durée déterminée, le porteur de projet reverse une part de son chiffre d’affaires, les royalties, à ses investisseurs.
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Le crowdfunding en royalties permet de toucher une communauté plus grande et de récupérer plus de fonds, étant donné que l’investisseur récupère du cash et non pas un produit !
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Pour plus d’info sur le crowdfunding, n’hésitez pas à me contacter estelleby@eby-avocat.com
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